Artiste peintre
Le rêve de la liberté prenait une forme extérieure, d’abord en dessin sur le papier, et ensuite en peinture sur la toile.
Je ne pouvais pas concevoir la liberté de l’esprit sans libérer le corps.
La silhouette des femmes me fascinait. Ces corps déambulant dans la rue tels des fantômes se transformaient instantanément en femmes à l’intérieur des maisons.
Née en Iran à Téhéran en 1980, un an après la révolution islamique, je n’ai connu que le saisissant contraste entre les propagandes idéologiques de notre gouvernement et la soif de liberté des êtres.
Sahar IRAVANI